| Mireille BERTRAND | 02 février 2011 | A vincent, sa maman et la famille.
J'ai appris avec tristesse le décès de Patrick.
Je partage votre chagrin. Il nous reste de lui des souvenirs inoubliable d'un homme fort, d'un homme bon, d'un homme généreux et proche des autres.
Je vous présente toute mes condoléances. |
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| Hansoul Léon | 28 janvier 2011 | Mon petit Vincent, je n'ai malheureusement pas l'occasion de te voir souvent, ceci est un euphémisme évidemment, mais ce n'est pas pour autant que tu n'occupes pas une petite place dans mon coeur et souvent dans mes pensées.
L'éloge que tu as fait à ton Père est digne de celui d'un peuple fait à son Roi bien-aimé.
Maintenant qu'il est loin d'ici, comme disait le poète, j'aurais aimé qu'il soit toujours là Papa.
Maintenant qu'il est parti, fini les pleurs, et rions comme il savait si bien le faire.
Bisous à toi Vincent et bon courage, une page vient de se tourner mais le livre n'est pas terminé.
Léon
NB: Aurais-tu l'amabilité de présenter à sa famille,l'expression de mes condoléances émues.
D'avance merci. |
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| Vincent | 27 janvier 2011 | Papa,
Notre histoire commune a débuté à Bruxelles, un 08 octobre,
en 1980 pour être précis, le jour de ma naissance.
Tu étais le plus heureux des hommes. Ton fils venait de naitre.
Au fil des jours, nous avons appris à nous connaître, une complicité
père-fils est née.
J'ai encore en mémoire une multitude de souvenirs et d'anecdotes
de vacances que j'ai passées avec toi et Maman.
Quand j'étais enfant, nous allions chaque année en vacances en Italie
dans la région de Gêne. Souvent mes cousines Sandrine et Nathalie
nous accompagnaient. C'était très chouette ces vacances tous
ensemble. Et au retour d'Italie, nous faisions un crochet par la France
à Menton pour retrouver tes parents, où Bon Papa Joseph et Bonne
Maman Andrée avaient un appartement. Là aussi, j'en garde
d'excellents souvenirs en mémoire.
Ta passion des voyages tu me l'as transmise. Une sorte de virus en
somme. J'ai en mémoire ce voyage à Londres avec toi, ton frère Alain
et deux de mes cousines. On y était pour une petite quinzaine de
jours, Alain et toi aviez un chantier à réaliser. Et moi pendant ce
temps j'ai découvert Londres et aussi découvert que l'on pouvait
rater un avion, on n'avait pas l'air bête dans cet aéroport de Londres
quand on s'est rendu compte que l'on venait de louper l'avion de
retour vers Bruxelles, toi et moi. On y est retourné à Londres, un ou
deux ans plus tard avec mon cousin Julien où on a tout revisité de
fond en comble, 4 jours de bonheur, et une traversée en voiture et
ferry plutôt mémorable. Merci à toi de m'avoir transmis le London
Virus.
Les années ont passé : d'enfant je suis devenu adolescent,
d'adolescent je suis passé adulte. J'ai grandi, j'ai changé.
Les années faisant, nous avons connu mutuellement des périodes
d'accords et de désaccords, comme dans toute relation parentenfant,
mais une chose est sûre tu es resté mon Père, mon seul Père,
celui qui a été là dès les premiers instants de ma vie.
Parfois même la distance nous a séparés. Mais rien n'y a fait, comme
par exemple ton séjour de plusieurs années aux Etats Unis, une patrie
différente de la tienne, où tout semble être démesuré.
Tu m'y as invité à plusieurs reprises, tu m'as fait découvrir tout ce
que tu avais pu y découvrir toi-même.
Tu m'as aussi présenté, celle qui allait devenir par la suite ta nouvelle
et dernière épouse, Déborah.
De ton ranch au Colorado en passant par le désert d'Arizona, sans
oublier Las Vegas, le Grand Canyon, Bryce Canyon, le Nevada,
l'Arizona, et la Californie, c'est tout l'Ouest des Etats-Unis que nous
avons arpenté ensemble, à deux, juste toi et moi, durant ces longs
circuits aux miles interminables.
Je me souviens encore de ce premier voyage pour te rejoindre où j'ai
débarqué à Phoenix. Tu avais monté ta propre société de navette
aéroport. Je te vois encore au volant de ce superbe van américain aux
couleurs de ta société quand tu es arrivé à l'aéroport. Tu m'as
réservé un accueil de VIP. Un accueil inoubliable.
Le « super, waouw » résonne encore dans ma tête. Un peu comme
un gosse qui reçoit son premier vélo !
Le village que tu habitais se situait à une petite centaine de
kilomètres de là, je me souviens encore de tes paroles où tu m'as dit
sur la route : « Tu vas rire, on va quitter la route principale et je vais
te faire écouter le silence. Tu peux y rester toute la journée sans rien
entendre, c'est le désert ».
Les Etats Unis c'était pour toi une dynamique de vie, tu y as bougé
d'un Etat à l'autre.
Merci Papa pour toutes ces découvertes.
De ton fils, tu en étais fier, c'était un peu la prunelle de tes yeux. Tu
parlais énormément de moi tout autour de toi, à tout le monde, et
sans relâche. J'en ai encore eu la preuve quelques heures après ton
départ si inopiné.
J'ai hérité de ta force de caractère, tu étais quelqu'un de combattif,
un battant, un passionné de l'humour du 7ème degré, un homme fier
de lui, et tu en avais toutes les raisons.
Léon m'a toujours dit de toi que tu étais reconnu par ton travail. Le
travail c'est bien quelque chose qui ne te faisait pas peur.
Ta disponibilité et ton dévouement pour les autres restera à jamais
gravés dans la mémoire de beaucoup de personnes.
Ta volonté de vouloir aider ton prochain, de vouloir aider les gens à
s'en sortir : des personnes comme Julien ou encore Jacques savent de
quoi je parle. Tu les as pris sous ton aile pour les aider à s'en sortir. Ils
continueront à se battre, même si tu n'es plus là, en ta mémoire.
Ta dernière fierté aura été certainement mon accompagnement
moral dans l'obtention de mon permis de conduire. Obtenir ce
permis de conduire, c'était pour toi la dernière étape dans
l'apprentissage de la vie. Tu étais fier de moi quand je t'ai dit que
j'avais réussi la première étape du théorique le 29 octobre dernier.
Tu étais enthousiaste, un peu comme si je venais de gagner à
l'Euromillion !
Tu aimais prendre de mes nouvelles, nous avons eu ces derniers mois
de longues conversations téléphoniques, qui nous ont rapprochés,
même si nous habitions des villes différentes, et que nous nous
voyions peu.
De temps à autre, tu venais le dimanche à Bruxelles : on aimait se
manger un bout ensemble et discuter longuement. L'un de nos
derniers bons moments ensemble, ce fut lors de notre sortie pour
aller voir le dernier Toy Story en 3D. Tu as adoré, tout comme Larry
et Wendy qui étaient des nôtres.
Je garderai ancré au plus profond de moi tous les enseignements que
tu m'as donnés, et surtout cette force de caractère et cette habitude
de garder la tête haute.
Je veux te dire une dernière chose : durant tout ce chemin que nous
avons fait ensemble, et malgré les distances qui ont pu nous séparer,
cela ne remet en rien tout l'amour que j'ai pour toi, et que je garderai
à jamais en ta mémoire. Je te souhaite de reposer en paix avec Bon
Papa Joseph au cimetière de Virginal, où il t'y a précédé il y a de cela
quelques années. Bon vent dans ta nouvelle vie, garde la tête haute,
fidèle à toi-même. Adieu Papa. |
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| Stéphanie VANDEVOIR | 25 janvier 2011 | A Vincent, Bonne maman, Corine, Jean-Claude, Roger et Christiane, Alain et famille.
J'ai été attristée d'apprendre le décès de Patrick. Je partage votre chagrin et je vous adresse mes sincères condoléances. |
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| Sabine Dricot | 25 janvier 2011 | | Cher Vincent, de tout coeur, je partage ta peine et ta douleur. Je te présente toutes nos sincères condoléances (de la famille Dricot) et te souhaitons beaucoup de courage. De là-haut, il veillera sur toi !!! Courage mon grand !!! Sabine Dricot, sa soeur et ses frères. |
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| Dominique Niville | 25 janvier 2011 | Cher Vincent,
mes sincères condoléances avec le décès de ton papa.
Je te souhaite beaucoup de courage pendant cette période difficile.
Mes pensées sont avec toi et avec ta famille. |
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| Olivier et Christelle | 24 janvier 2011 | A Vincent, Bonne maman et Corine, Roger et Christiane, Alain et famille
L'absence reste l'absence, les souvenirs demeurent et vous aiderons à reprendre courage car malheureusement le destin donne parfois d'étranges rendez-vous.
Que les larmes que vous versez à présent laissent bientôt la place à des souvenirs heureux de Patrick
Nous savons combien ce malheur vous atteint et tenons à ce que vous sachiez toute la part que nous prenons à votre douleur.
Olivier et Christelle VANDEVOIR-DEWART
et leurs enfants Jérémi Maxime et Lena
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| Nicole | 23 janvier 2011 | A Vincent, Andrée, Christine, Roger, Jean-claude, Alain, Corinne, Christiane,
Je me joins à votre douleur, je ressents très fort votre peine et je la partage.
Patrick a partagé un bout de mon chemin. Il restera bien présent dans mon coeur.
Je vous partage ce texte et vous embrasse très fort, surtout toi Vincent. Nicole.
Au bord de la plage
Je suis debout au bord de la plage ;
Un voilier passe dans la brise du matin,
Et part vers l\'océan.l\'horizon.
Quelqu\'un à mon côté dit : Il est parti !
Parti vers où ? parti de mon regard, c\'est tout !
Il est la beauté, il est la vie.
Je le regarde jusqu\'à ce qu\'il disparaisse de Son mât est toujours aussi haut,
Sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine.
Sa disparition totale de ma vue est en moi, pas en lui.
Et juste au moment où quelqu\'un près de moi dit :
Il est parti,
Il y en a d\'autres qui, le voyant poindre à l\'horizon
Et venir vers eux, s\'exclament avec joie :
Le voilà !
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| étienne colin | 23 janvier 2011 | | sincères condoléances de la part de liliane michel etienne colin et cédric et sa compagne mélina |
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| COLLARD ROMAIN | 22 janvier 2011 | | sincères condoléances a tous ses proches. gardons un souvenir ému de Patrik. Christiane et Robert Collard |
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